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Jérusalem
Le Futur sera Divin !
La grande conférence « Science & Guéoula », un événement majeur de ces dernières années qui rapprochera considérablement le dévoilement du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h ! (A l’occasion du Yortseit de Rabbi Arié Leïb, frère du Rabbi)
Mardi 17h00 le 13 Iyar, à l’université hébraïque de Jérusalem (Har Hatsofim), un cycle de conférences ininterrompu a eu lieu sur le thème du dévoilement de la divinité dans l’infiniment petit… Cet événement scientifique sans précédent a dévoilé des découvertes actuelles qui feront, très bientôt, le lien entre la physique et la mystique, le naturel et le divin, la logique et le ‘hassidique.
Toute cette organisation a été mise en place par le Professeur en mathématiques Chimon Silman de New-York qui a introduit en rappelant que l’Institut Rial (au nom de Rabbi Israël Arié Leib Schneerson, frère du Rabbi) est né en 1992 et en 1993 a reçu la bénédiction du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h. Le but de cet institut est de montrer plus clairement la divinité par la science et de révéler l’unité qui se crée ces dernières années entre les sciences elles-mêmes pour découvrir et dévoiler le Alef (D.ieu) dans l’infiniment petit.
Le second organisateur était Rav David Eytan Rozner, conférencier spécialisé en « Sciences et Torah » à Jérusalem, qui a pris la parole pour démontrer la relation entre la lumière et la matière, en passant par les différentes phases de l’analyse de la lumière par les scientifiques, leurs théories et axiomes mis au point. Les découvertes en ce sens, sont de plus en plus spectaculaires et vont vers des phénomènes complètements « surnaturels » (comme le cas de l’atome de Bohr). La constatation d’absence de toute matière entre un électron et un proton font de l’univers un phénomène tout simplement divin.
Mais nous n’étions pas encore au bout de nos surprises avec l’intervenant suivant, le génial Professeur Yaacov Friedman de l’Académie Lev de Jérusalem qui a évoqué son thème de prédilection : « l’influence de l’énergie sur les lois de la dynamique ». Et par les nouvelles théories combinées aux plus anciennes, découvrir des équations qui prennent en compte le divin. Le Prof. Friedman a évoqué le lien entre le libre-arbitre et la Divine Providence…
Ensuite le Professeur Yaacov Gugenheim de l’université Ben Gourion, ingénieur en électro-optique, a fait une fabuleuse présentation sur le thème : « La création de la lumière », appuyé par un décryptage méticuleux des paroles du Rabbi Chalom Ber, le Rachab et son œuvre, le Aïne Beth. En passant par les grandes découvertes sur la lumière et les œuvres des Sages de la Kabbala, le Prof. Gugenheim a démontré la relation entre lumières et réceptacles (Or veKli) dans les théories scientifiques.
Puis, pendant le repas, est intervenu le Rav Avishaï Ifergan, recteur de la Yéchiva de Kfar Saba et ancien officier de Tsahal pendant les années de la guerre du Golf. Le thème de sa conférence et présentation fut la relation entre les pays, l’implosion des états ennemis d’Israël, les relations entre le président Donald Trump, la Russie et la Corée du Nord. Les accords sur la diminution des armes de destruction massive depuis aout 1991 jusqu’aux accords Start, Sort et New Start sur le contrôle de l’armement. Le Rav Ifergan a analysé la situation actuelle de l’Iran. Il a déclaré qu’aujourd’hui, nous pouvons constater que le travail de cet exil a été effectué et le but de ce travail était de rectifier la faute de l’arbre de la connaissance qui a mélangé le bien au mal et actuellement ce travail étant terminé, chacun peut voir clairement le mal, le montrer du doigt avant sa disparition totale. Et c’est comme cela que se présentent les ennemis d’Israël, l’esprit de guerre a disparu de la terre et l’œuvre du Rabbi de Loubavitch a été accomplie, il ne nous reste plus qu’à l’accueillir en tant que roi Machia’h et s’écrier : « Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd ». La soirée s’est terminée très tard par une réunion ‘hassidique avec le Rav Chmouel Haendel du Maté Machia’h. (GN)
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Le 2 Iyar 5777 avec le Rav Boaz Kali
A l’occasion de l’anniversaire de Rabbi Chmouel de Loubavitch (4ème prince de la dynastie ‘Habad), à la Yéchiva HaMele’h HaMachia’h du centre ville à Jérusalem, jeudi soir, à la veille du 2 Iyar, le Rav Boaz Kali (de ‘Haïfa), Chalia’h pour les 7 Mitsvot Bné Noa’h a été l’invité d’honneur de cette grande soirée. Le Rav Kali a expliqué l’impact extraordinaire de cette campagne, sans précédent dans toute l’histoire Juive, avec le principal atout que nous possédons dans cette génération ; la délivrance et la personne même du roi Machia’h. Par cette campagne, les nations comprennent que le Peuple Juif donne le ton pour tout ce qui est connection avec le divin et que ce n’est que par cela, qu’ils peuvent réellement s’élever au rang de Ben Noa’h. Les nombreuses actions seront prises en charge pour Jérusalem, par le Rav Benstion Galula que l’on peut contacter au 054-5510770. (GN)
Galerie de photos au Gan Saker le 6 Iyar 5777
Comme chaque année, à la même date, un groupe de ‘hassidei ‘Habad se rend au Gan Saker de Jérusalem afin d’accomplir la volonté du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, c’est à dire de poser des paires de Téfilines à un maximum de Juifs. Cette année nous avions un invité de marque, le journaliste Ouri Réva’h de la première chaîne israélienne qui est venu sur place avec son équipe TV et a retransmis l’événement. (GN)
Cette histoire a été racontée la semaine dernière par le Chalia’h David Tordjman, de retour des fêtes de Pessa’h 5777… Au Farbrenguen (réunion ‘hassidique) du jeudi soir à Paris. Mais laissons plutôt le parole à ce Chalia’h :
« Cette année, nous sommes partis avec mon épouse en Espagne pour un Pessa’h organisé. Une magnifique fête dans une grande joie qui ne cessait d’augmenter jusqu’au point culminant, la Seoudat Machia’h, le repas du Machia’h instauré par le Baal Chem Tov, le dernier jour de Pessa’h.
Nous avons donc investis une des salles disponibles de l’hôtel et j’ai emmené avec moi une magnifique coupe géante, en argent, qu’un ami m’avait offert. Cette coupe a vraiment interpellé le regard des invités et c’est avec plaisir qu’ils ont participé à ce repas pendant lequel on mange principalement des Matsot, et l’on boit quatre coupes de vin, comme pendant le Seder.
J’ai raconté plusieurs histoires du Rabbi Chlita Mele’h HaMachia’h, et quand il se fit tard, quelques dames ont voulu partir, mais à ce moment-là, je ne sais pourquoi, je leur ai dit : « Mesdames ne partez pas, je vais raconter une dernière histoire, la plus belle de toutes et après, il y aura des cadeaux ! ». Et j’ai raconté ceci : « Il y a quelques années, j’étais venu en Israël, et comme à chaque fois, je passe d’abord par Kfar ‘Habad pour demander au Rabbi une bénédiction pour cette mission en Israël. J’ai rencontré alors au 770 du Kfar, un ‘hassid qui m’a proposé des ‘Hitat en microfilm de la dimension d’une carte de visite. Je lui en ai donc commandé 770 pièces. Avant mon retour à Paris, je l’ai rencontré mais il n’en avait pas 770 mais 270. Bon, je les ai pris et je me rendis immédiatement à l’aéroport.
Montés dans l’avion, nous avons commencé par un très bon voyage, mais très vite nous avons sentit un gros mouvement de la carlingue et le commandant de bord s’adressa à nous : « Rassurez-vous, nous avons dû lâcher une grosse quantité de carburant pour alléger l’avion »… Panique à bord !
L’atterrissage fut lui aussi surprenant. Lorsque nous descendîmes vers Tel Aviv, nous distinguâmes soudain des dizaines de véhicules d’urgence. Pompiers, police etc.
Au sol, on nous annonça que nous pouvions aller manger dans un restaurant aux frais de la compagnie, en attendant qu’ils décident comment se passerait la suite des événements. Moi, j’avalais un sandwich en vitesse, je devais absolument me rendre au Beit ‘Habad de l’aéroport pour demander au Rabbi sa précieuse bénédiction pour notre départ.
Sur place, un groupe de français venait d’arriver et l’on me demanda de les aider à mettre les Tefilines. Je fus très occupé par cette activité et vint l’heure de la prière d’Arvit. Alors que je cherchais l’endroit où l’on se lave les mains, je tombais face à face à un écran plasma et là… Le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h en plein Farbrengen se leva et en encourageant la foule des présent par un mouvement du bras, il lança le chant : « Ki Besim’ha Téetsé… Tu partira dans la joie ! », voilà ma bénédiction, il n’y avait plus rien à craindre, nous pouvions partir tranquilles.
Mais tout ne s’arrête pas là. On nous annonça que l’on devait reprendre l’avion… le même avion. Trente personnes refusèrent et restèrent dans l’aéroport. Le reste, monta et je les encourageais moi-même en leur annonçant que nous avions la bénédiction du Rabbi. Dans l’avion, un groupe de jeunes chantait timidement le chant de la Guéoula : « Ye’hi Adoneinou… », je me dirigeais vers eux et relançais le chant d’une voix forte avec des danses et je distribuais à chacun la Tefilat Hadére’h en version française. Les gens me l’arrachaient littéralement des mains. Je me mis à réfléchir et me rendis compte que dans ma valise, dans la soute, il y avait 270 ‘Hitat en microfilm et nous étions exactement le même nombre à bord… Inutile de préciser que le voyage se passa dans la joie et nous sommes arrivés à bon port, Barou’h Hachem. Voilà pour l’histoire, mais ce qui se passa dans la salle de l’hôtel fut tout aussi étonnant, les dames à qui j’avais demandé de rester pour l’histoire se levèrent pour dire : « Mais j’étais dans cet avion » une autre « moi aussi » et les autres aussi étaient dans l’avion. Je leur ai donc par la suite distribué les ‘Hitat qu’il me restait ainsi que des Pins Machia’h une joie incroyable s’installa alors dans la salle… Un repas du Machia’h réellement dans la Guéoula ! (GN)
Lors de l’allocution de la Parachat Vayéchev, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h a annoncé que le fait de raconter les miracles et les prodiges que D.ieu fait à notre encontre rapproche la délivrance.
C’est dans cet esprit que Chimon Partouche nous raconte : « Alors que j’avais environ sept ans, pendant Chabbat, j’ai fait un rêve qui avait plutôt l’allure d’un cauchemar dans lequel je courrais certainement pour fuir quelque chose. Quand soudain l’ambiance effrayante du rêve se dissipa pour laisser place à un sentiment de sérénité. En effet, alors que je me trouvais sur un pont, j’aperçu le Rabbi de Loubavitch qui se tenait sur le côté. Il me regardait sans parler et son regard m’apaisa. Je m’approchais alors de lui comme pour me réfugier. Il me tendit une sorte de carte de visite sur laquelle était inscrit le nom de ma tante « Evelyne Uzan » en lettres d’or. La beauté de cette carte me frappa au point où je m’en rappelais clairement à mon réveil.
Le matin, je racontais à mon père les détails de mon rêve et il me dit que puisque nous étions invités au repas de Chabbat midi dans une famille de ‘Hassidim de Loubavitch, nous pourrons leur demander conseil.
Alors que je m’amusais avec les enfants de la famille Bellaïche, mon père me demanda de le suivre au salon pour parler avec le chef de famille de mon rêve. Celui-ci nous conseilla d’ouvrir les Igueroth Kodech à ce sujet. Ce que nous fîmes immédiatement en nous lavant les mains au préalable.
La lettre parlait d’un champ qui était en Terre Sainte au sujet duquel nous rencontrions certaines difficultés. Le Rabbi nous donna des directives à suivre afin de régler cette histoire à notre avantage. Pour ma part je ne vit aucun rapport avec ce qui m’était connu à l’époque. Mais le visage de mon père avait changé et il dit : « C’est incroyable, ma sœur Evelyne possède en gérance le terrain de mon père se trouvant en Israël et justement elle rencontre exactement les problèmes cités par le Rabbi ».
Après ce Chabbat, mon père fit parvenir à ma tante une copie de la lettre. Celle-ci fut bien surprise d’y voir le problème qu’elle rencontrait mais surtout elle y trouva des solution qu’elle put mettre en application et en effet, tout rentra dans l’ordre grâce à D.ieu ». (Propos recueillis par Guéoula News)
La semaine dernière, nous avons rencontré Tsadok Weinstein qui nous a relaté une extraordinaire histoire qui s’est passée en 5750-1990. Tsadok est un homme d’affaires qui voyageait souvent pour vendre et acheter et faisait les allers-retours entre les îles Caraïbes et les Etats-Unis et parfois, il rentrait dans son pays natal, au Pérou, là où vivaient ses parents et ses proches tous issus d’une grande famille aisée.
Tout se passait à merveille, les affaires tournaient et tout le monde allait bien. Jusqu’au jour où son frère, Larry, lui aussi dans les affaires à New-York, se sentit faiblir. Il demanda à se reposer au lit pour faire une petite sieste et reprendre des forces… Mais il ne se leva pas, ce jour-là. En effet, Larry avait sombré dans un coma dont la profondeur semblait insondable. Il fut transporté en urgence au New-York Hospital.
Et c’est de cette manière que débuta un voyage en noir et blanc dans l’univers de l’hôpital le plus fameux des USA, le plus moderne, à la pointe de la médecine et de ses nombreuses ramifications. Malgré la célébrité de l’établissement, les examens multiples dans toutes les spécialités médicales, le moindre centimètre carré du corps de Larry fut passé au crible et son cerveau au scanner… Mais l’on ne vit rien sur aucune des radios. Et Larry continua son long voyage dans les méandres de l’inconscient. Rien ne pouvait le ramener à l’état d’éveil.
Personne ne savait que faire. La mère de Larry avait été chercher de l’eau bénite d’un monastère en Grèce, elle allait de voyant en médium, et avait même ramené un magnétiseur pour envoyer de bonnes énergies dans le corps du jeune homme et encore bien d’autres recettes de grand-mère, en bref pendant tout le long hiver de cette année-là, on avait tout essayé. Tout ? Non ! En fait, il restait pour Tsadok une chose qu’il se devait de vivre et de faire. Un émissaire du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h avait fait la connaissance de Tsadok, quelques semaines avant que la maladie de Larry n’apparaisse, et lorsque se fut le cas, il conseilla à Tsadok d’aller un dimanche au 770, pour rencontrer le Rabbi et implorer sa bénédiction.
Le message de l’émissaire fit son chemin et lorsque l’hiver fit place au printemps, Tsadok se vit prenant la voiture et se dirigea vers le quartier de Crown Heights à Brooklyn, New-York, vers le Beit Rabbénou, le 770, Eastern Parkway…
Il ne savait pas du tout à quoi s’attendre, n’avait jamais vu le Rabbi, ne savait pas ce qu’était un Rabbi et lorsqu’il vit la longue file d’attente qui sortait sur des centaines de mètres sur l’avenue, il comprit qu’il n’aurait pas affaire à quelque chose de commun. Il prit place dans la file et, fébrile, attendit son tour. La file avançait doucement mais sûrement et Tsadok était déterminé ; il décocherait cette bénédiction pour son jeune frère…
Soudain, il se vit face au Rabbi et le regard bleu du Rabbi lui fit perdre quelque peu son assurance. Le Rabbi lui dit quelques mots, lui tendit un dollar de bénédiction, et on tenta de le pousser en avant afin de faire passer son tour à la personne suivante. Mais Tsadok ne se laissa pas faire et dit au Rabbi l’état de son frère Larry dans le coma. Et là tout se passa comme au ralenti et le Rabbi lui dit : « Please, come back with good news ! S’il vous plaît, revenez avec de bonnes nouvelles ! ». Le Rabbi lui donna un second dollar et ce fut tout.
Tsadok se retrouva dehors, l’air frais de New-York lui redonna sa contenance car il venait de vivre un intense moment d’émotion.
Tsadok racontait, visiblement ému : « Je me rendis à l’hôpital et je plaçais le dollar du Rabbi sous l’oreiller de Larry. Puis quelques minutes après ce fut le tour des médecins d’envahir la pièce. Il y avait trois grands professeurs mondialement connus et une trentaine d’internes qui écoutaient les commentaires de leurs mentors. Les infirmières firent leur apparition et sous les conseils de médecins essayèrent de nouveau des perfusions, des piqûres, des massages cardiaques mais rien ne se passait.
Au bout d’une demi-heure tout le monde quitta la pièce et je me retrouvais seul avec mon frère. Les larmes aux yeux, je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je lui ai parlé à l’oreille en disant : « Allez Larry, j’ai placé le dollar du Rabbi sous ton oreiller, arrête tes bêtises et réveille-toi… Allez, s’il te plaît ! Larry, réveille-toi ! ». Et il ouvrit les yeux… il me regarda, il avait l’air bien conscient, il savait où il était, qui j’étais. Lorsque les infirmières sont revenues, après que je les eus appelé, personne n’y croyait, tout le monde pleurait de joie, les médecins arrivèrent… Ils furent stupéfaits. Alors qu’il n’y avait plus aucun espoir, le dollar du Rabbi avait agit et la bénédiction de D.ieu avait, par son intermédiaire, éveillé mon frère Larry… ». (Propos recueillis par Guéoula News)
Nous évoquons dernièrement le principe «celui qui vit méditera en son cœur» et celui-ci doit s’appliquer chaque fois que l’on a une année de plus de vie, une année de plus de mariage (car une discussion existe pour savoir si le mariage est une action dont l’effet est continu ou une action qui se renouvelle chaque jour).
Ce qui est vrai pour chaque juif l’est encore plus pour les chefs d’Israël qui reçoivent alors une vitalité accrue pour eux-mêmes et pour tout le peuple Juif, s’ajoutant à celle qu’ils possédaient déjà auparavant, (car il est clair qu’ils parviennent à la perfection dans tous les domaines).
En l’occurrence, le 2 Nissan est la Hilloula du Rabbi Rachab et le début du règne du rabbi précédent, chef de notre génération. C’est donc un jour particulier dans la vie d’un chef et dans le règne de notre époque, qui commença alors et se poursuivra jusqu’à la venue du Machia’h. Celui-ci reçoit donc une élévation particulière en ce jour. (La Hilloula est le jour où l’œuvre du Tsaddik reçoit une élévation. Puis, «le soleil se lève juste après que le soleil se couche.» Un nouveau règne commence. Ce fut en l’occurrence le fils unique du Rabbi Rachab. Or le fils du roi devient roi sans recevoir l’onction. S’il est unique, aucune contestation n’est possible. Etant le successeur de tous les Rebbeïm précédents, le Rabbi poursuit donc leur règne et le fera jusqu’à la venue de Machia’h).
Il faut définir l’application du principe «le vivant se souviendra en son cœur» et comment il permet d’ajouter de la vie, (chaque année, puisqu’ «l’on s’élève dans le Sacré»). Le Rambam compare le roi au «cœur de l’assemblée d’Israël», qui renferme le sang lequel fait vivre tout le corps. (Par ailleurs, le roi est également comparé à la tête.)
« Mele’h », le roi est composé des initiales des trois mots signifiant cerveau, cœur, foie, les trois membres gouvernant l’organisme. Le cerveau dirige le corps et lui distribue la vie. Le foie est plein de sang. Mais le cœur est la vie à proprement parler qui circule dans tous les membres et revient ensuite dans ce membre. C’est donc lui, avant tout, qui fait vivre le corps. (Le cerveau accorde à chaque partie du corps la vitalité qui lui revient. En revanche, le cœur distribue à tous le même sang qui véhicule l’essence de la vie). Par ailleurs, la vie est le mouvement et le cœur bat sans cesse, à la différence du cerveau et du foie.
De même, le chef distribue la vie à tous les Juifs et, au début de son règne, sa vitalité est accrue et peut se dévoiler dans le corps matériel, (s’ajoutant ainsi au rôle qu’il joue en tant que cerveau et en tant que foie).
Ceci est encore plus souligné cette année, soixante huitième du règne du Rabbi, chiffre qui est la valeur numérique du mot ‘Haïm, la vie. (Et même le Juif le plus simple peut comprendre une valeur numérique). On sait que les trente ans du règne du Rabbi précédent se subdivisent en trois fois dix ans.
Les dix premières années se déroulèrent dans le pays que l’on sait, les dix suivantes en Pologne et les dix dernières ici même, dans l’hémisphère inférieur. (Or, dans la vie d’un homme, dix ans représentent une période indépendante).
On peut donc considérer que les deux Youd de Haïm font allusion aux deux premières périodes de dix ans et les Mem Heth aux quarante huit ans de son règne ici-même. De plus, Mem Heth a la même valeur numérique que Haïl, l’homme vigoureux. Ces chiffres sont expliqués par le Tsema’h Tseddek en particulier dans le livre « Haliko Itim », basé sur les enseignements des Rebbeim qui le précédèrent et référence de ceux des Rebbeim qui le suivirent. Chacun consultera ces sources et appliquera «donne au sage et il exercera sa sagesse». (Mais il est clair que chaque Rabbi eut un apport spécifique dans tous les domaines de la Torah, depuis l’Admour Hazaken dont le nom, Chnéor, signifie deux lumières, celle de la partie révélée et celle de la partie cachée de la Torah.
On trouve deux idées opposées dans le rapport entre le peuple et le roi. D’une part le Roi doit être séparé du peuple, qui est tenu de le craindre. Mais d’autre part, une grande proximité existe entre eux, à l’image du cœur qui irrigue tous les membres du corps. Bien plus, l’existence du Roi dépend du peuple, car, disent nos sages «il n’y a pas de roi sans peuple». (Il est clair qu’un home ne peut régner sur sa famille). Lors de son couronnement, le peuple crie «Vive le Roi !» et lui apporte ainsi la vie.
C’est en l’occurrence soixante huit ans, « Haïm, du règne du Rabbi et le peuple peut alors ajouter de la vie au Roi. En criant «vive le roi», celui-ci signifie qu’est déjà venue le moment de réaliser la promesse selon laquelle «ils se réveilleront et se réjouiront ceux qui gisent sous terre», en particulier le Rabbi précédent et David le roi Machia’h. C’est pour cela qu’il faut crier «Ad Mataï» et rapprocher effectivement la délivrance, de sorte que l’on puisse désigner du doigt le Machia’h qui rassemblera les exilés. C’est en criant «vive le roi» que l’on fera venir le Machia’h.
Machia’h est lié à chaque Juif et chacun peut donc crier «vive le roi», possède en lui une parcelle du Machia’h, de la Ye’hida générale de tout Israël. Il est donc encore plus clair qu’ «il n’est pas de roi sans peuple» s’applique également au Machia’h. Chaque Juif doit, pour l’obtenir, dévoiler la Ye’hida qu’il porte en lui.
Ce qui vient d’être dit peut être lié au début du règne du Rabbi, pendant le mois de Nissan, celui de la délivrance. C’est alors que les Juifs quittèrent l’Egypte et c’est alors qu’ils seront libérés. C’est également en Nissan que les chefs de tribu offrirent leurs sacrifices pour l’inauguration de l’autel et nous en lisons chaque jou la description dans la Torah. Ces deux éléments présagent le règne de David, lors de la délivrance. (Car le nom même de Nissan implique le comportement miraculeux, qui transcende le comportement naturel et le Roch Hodech Nissan est le «nouvel an des rois»).
Le Chef de tribu qui offrit son sacrifice le 2 Nissan est celui d’Issa’har, Netanel Ben Tsouar. Tsouar vient de Tsaar, la douleur et la douleur la plus considérable est celle de l’exil, que nous avons largement connue. Mais Ben Tsouar, ce qui nait de cette peine, sa récompense est la délivrance. C’est le sens de Netanel, qui signifie «D.ieu a donné». (C’est en effet la souffrance de l’Egypte qui fit que les Juifs soient nombreux). Celui qui donne le fait avec largesse et le Nom Divin employé ici, Kel, est le premier des treize attributs de miséricorde. La bonté divine se révèle donc et l’on obtient la délivrance véritable et complète, par notre juste Machia’h.
Nous entrons ce jour dans le 3 Nissan, jour du chef de la tribu de Zevouloun. Si Issa’har se consacre à l’étude, Zevouloun pratique le commerce, bien qu’ayant également une étude fixée.
La différence entre celui qui à l’étude pour seule occupation et celui qui n’a qu’un temps fixé pour celle-ci est celle qui existe entre la Torah du monde futur et celle de ce monde. Notre étude, à la façon de Zevouloun, à l’heure actuelle, nous conduira donc à celle du monde futur et celle de ce monde. (Bien plus, la torah actuellle est «futilité» par rapport à celle du monde futur. En l’occurrence, Zevouloun est placé avant Issa’har car ce dernier étudiait par le mérite du premier).
Une allusion, cette année, concerne l’action concrète, du fait que le 2 Nissan est le dimanche de la Paracha Tsav. Au début de celle-ci, Rachi dit «Tsav indique un empressement immédiat et pour toutes les générations». Ainsi, dès le 2 Nissan, tout de suite après Roch Hodech, en un jour d’action, le Machia’h vient de façon immédiate et avec le plus grand empressement.
Bien plus, il s’agit ici de retirer les cendres et de disposer le bois sur l’autel, auquel il faudra ensuite mettre le feu. Ainsi, ce n’est pas là le sacrifice perpétuel proprement dit, mais une préparation pour la préparation de celui-ci. L’empressement n’en est pas moins nécessaire.
Ceci est un enseignement pour chacun. Ainsi, l’empressement n’est pas indispensable uniquement pour donner de la Tseddaka mais aussi pour prendre la décision de le faire et cette qualité est également liée à la délivrance.
L’acte est essentiel. Il faut achever nos actions et demander «Ad Mataï ?». Il faut proclamer « vive le roi ! » avec le plus grand empressement et la joie la plus profonde. Nous sommes en effet en « Tisma’h » et «Haïm» années se sont écoulées depuis le début du règne du Rabbi. D.ieu se hâtera donc de dévoiler la délivrance.
En son temps, le Rabbi disait qu’il faut «faire briller les boutons». Nous le faisons depuis des dizaines d’années et ils sont maintenant brillants. Continuer à le faire diminuerait leur beauté. L’empressement appartient donc maintenant à D.ieu, qui doit dévoiler la délivrance, révéler le troisième Temple qui est déjà prêt là-haut et peut donc descendre dès nette nuit. Alors nos yeux de chair, nos âmes vêtues de corps vivront la délivrance.
A l’époque du Temple, la journée commençait et s’achevait par un sacrifice perpétuel. Actuellement, la prière remplace le sacrifice et la Tseddaka la précède. Nous donnerons donc maintenant de la Tseddaka qui rapprochera la délivrance. Le Machia’h viendra, en particulier dans cette année de Hakhel.
La délivrance sera également par le mérite des femmes vertueuses de notre génération qui ont les mêmes âmes que celles qui sont sorties d’Egypte. Tout ceci se réalisera et, au sens le plus simple, ce sera la délivrance véritable et complète, de façon immédiate.
Vive notre maître le Rabbi Roi Machia’h pour l’éternité !!!
Conférence du Rav David Tordjman
sur les Sept Lois de Noé
Cinquième Rabbi de Loubavitch et père du Rabbi précédent le Rabbi Yossef Yits’hak (le Rayats), le Rabbi Chalom Dov Ber (Rachab) fait partie de l’assemblement des détonateurs de la Guéoula dans le mot Miyad (immédiatement), de nombreuses fois répété et commenté par le Rabbi Roi Machia’h comme comportant les initiales des noms : Mena’hem (Machia’h), Yossef Yits’hak et Dov Ber…
Demandons-lui une bénédiction,
tous ensemble, celle de la Guéoula Miyad,
la délivrance véritable et complète
de manière immédiate !
A l’occasion du 11 Nissan, le jour de l’anniversaire du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, cette année aura lieu, avec l’aide de D.ieu, un rassemblement aux dimensions nationales et les préparatifs ont déjà démarré. Le journal de la Guéoula vous tient informés sur l’évolution des différents détails qui concernent le public. (CI)
Grâce à D.ieu, nous sommes aujourdhui en plein acceleration du processus de Gueoula en participant à la construction du Palais du Roi Machiah. Nous organisons, ces jours-ci, une lotterie, speciale dont les prix seront des fascicules distribues de la main du Rabbi Chlita MHM, ainsi qu un dollar de benediction. De plus, on pourra obtenir 1000 heures d etude de Bahourim à la Yechiva. Possibilite en paiements quotidiens jusqu à 3,5sh par jour !
Organisme pour la construction
du Palais du Machiah,
HaVaad LaBinyane
Banque Mizrahi Tefahot
Snif 547 – Compte 114101
Tel. 058-4047770
A diffuser au plus grand nombre !
Code institutionnel : 57529