L’Histoire en Version Intégrale…

Vivre Chaque Minute
Paru sous le titre : « Hitvaadout avec le Rav Adam Stein »
Voici quelques épisodes de ma vie… Je m’appelle Adam Stein et je suis un pur produit de « ‘Habad sur le Campus ». Alors que j’étais un étudiant à l’université de Amherst dans le Massachusetts, le Chalia’h, Rav ‘Haïm Edelman. se promenait souvent dans les rues de l’Université et il invitait les étudiants Juifs chez lui, pour le repas du Chabbat. Il m’invitait souvent, mais je refusais poliment à chaque fois. Ce n’est qu’après avoir passé une année en Terre Sainte en tant qu’étudiant à l’Université de Tel-Aviv, lorsque je suis rentré à Amherst, j’étais plus ouvert sur ce sujet. Et cette fois, j’ai accepté chaleureusement son invitation. C’est depuis ce jour que la connexion est née…
J’appréciais particulièrement l’ambiance du Chabbat et des réunions ‘hassidiques. Chaque semaine j’y participais. L’étape suivante fut que je m’achetais une paire de Téfilines. Quelques mois passèrent et je commençais à pratiquer toutes les Mitsvot. J’avais déjà décidé d’aller en Erets Israël et d’y étudier en Yéchiva.
Je cherchais et j’allais d’une Yéchiva à l’autre jusqu’à ce que je trouve mon bonheur à Jérusalem dans la Yéchiva Or Samea’h. A cette époque, j’étais divisé… D’un côté, j’aimais mon étude à Or Samea’h mais d’un autre côté je me languissais de l’étude de la ‘Hassidout et de l’ambiance ‘hassidique. Je me souvenais d’une certaine réunion ‘hassidique dans laquelle on évoquait le fait que le Rabbi Rachab avait choisi les Nechamot (les âmes) qui étudieraient à Tom’hei Temimim (à la Yéchiva Loubavitch) et mon âme s’est vouée à être l’une de ces Nechamot…
Ainsi, après trois ans d’étude, j’ai réalisé ce que je m’étais promis et je me suis inscrit à la Yéchiva Tom’hei Temimim de Kfar ‘Habad (mon projet suivant serait d’étudier au 770). Après mon mariage, nous nous sommes rendus, mon épouse et moi, sur le Campus de l’Université de Stony Brook à New-York, dans le même but d’ouvrir la table de Chabbat aux étudiants et, en fin de compte, être un émissaire du Rabbi Chlita Roi Machia’h.
Pourtant, lorsque je me rapprochais du mouvement ‘Habad, venais de naître le conflit autour de l’identité du Machia’h : publier ou pas !? Et ce conflit a provoqué chez moi une sorte d’éloignement. Néanmoins, cette question a éveillé chez moi l’idée que ce sujet devait être étudié en profondeur dans les discours et les allocutions des années 5751-52 (1991-92), le Dvar Mal’hout. Ainsi, dès que je suis venu étudier au 770, c’est là que je me suis dis, qu’il était temps de se pencher sur le sujet. Je me suis donc organisé un compagnon d’étude sur ces Si’hot (allocutions) spécifiques.
J’étudiai chaque Si’ha profondément, avec les références, j’investissais des heures et des jours sur chaque discours. En conclusion de cette recherche, cette enquête, se révélait le fait que le Rabbi n’est pas en train de nous promettre juste la proximité de la Délivrance, mais nous en donne les clés. Il nous explique comment amener le Machia’h dans la réalité.
Comme j’étudiais ces Si’hot selon l’ordre, l’une après l’autre, je me suis rendu compte d’une chose, c’est que ces allocutions, ces discours forment, en fait, un seul volet. Que dans chaque chapitre, le Rabbi nous dévoile une nouvelle dimension sur la Délivrance. J’ai enquêté et essayé de découvrir le fil conducteur qui en fait un seul sujet. Je voulais comprendre, en fait, quel est ce travail qui conduit à la révélation du Machia’h.
J’ai commencé à rassembler les Si’hot qui traitent d’un sujet commun, au lieu de me concentrer sur le thème de la Paracha. Et peu à peu, le brouillard s’est estompé. Au centre de ce tableau panoramique et « Guéoulatique » s’éleva, tout seul le cœur du Dvar Mal’hout… Parachat Pin’has. Si l’on étudie cette allocution dans toutes ses dimensions, et en intégrant son message, on comprend à un niveau tout à fait différent les points des Si’hot de 1991-92. On déduit que le Rabbi ne parle pas d’une délivrance future, mais bien d’une délivrance accessible, ici et maintenant…
Dans ce discours, le Rabbi explique comment l’homme peut se mettre en phase avec ce « mode Guéoula » de l’instant présent : chaque action, pensée ou parole qu’il a, à ce moment-là, soit accomplie avec la plus grande plénitude, avec le plus grand soin. Telle qu’elle est, car elle est un but en soi. Le Rabbi appelle cela, être « Pnimi (intérieur) », c’est à dire, être profondément et totalement investi dans ce que l’on fait.
Dans les conférences que je donne sur ce sujet, j’aime citer la note de bas de page 42 dans ce discours. Où celle-ci évoque l’allocution du 20 Chevat 5730-1970.
La Hitvaadout (réunion ‘hassidique) du 20 Chevat 5730-1970 fut un grand moment. En général la « Hitvaadout » est reliée à un moment privilégié, comme une fête. Mais cette Hitvaadout fut consacrée au retour chez eux des présents, les ‘hassidim, et émissaires qui étaient venus participer à la conclusion de l’écriture du Sefer Torah dédié à l’accueil du Roi Machia’h…
Le Grand Youd Chevat
L’un des sommets au sujet de la Délivrance fut joué à la date du 10 Chevat 5730-1970. Le Rabbi avait alors élevé l’espérance et l’émotion à des hauteurs encore insoupçonnées. La chose s’est produite dès que le Rabbi est arrivé et a demandé de terminer le Sefer Torah dédié à l’accueil du Machia’h . Ce Sefer Torah fut commencé à l’initiative du Rabbi précédent le Rabbi Rayats qui, en plein seconde guerre mondiale, en 5702-1942, alors que le sang Juif était versé comme de l’eau et des millions de Juifs étaient assassinés en Kiddouch Hachem.
Il s’était passé, alors, 28 ans (Ye’hi), et ce Sefer Torah allait être conclu après vingt années de règne du Rabbi. Et dès le mois de Tévet 5730-1970 la rumeur annonçait de grands événements. A la veille de Roch ‘Hodech Chevat, le Rabbi rentra du tombeau de son beau-père, le Rabbi Rayats et a demandé à parler à certains vieux ‘hassidim. Parmi eux se trouvait le Rav Simpson qui était un membre du comité pour l’écriture de ce Sefer Torah et le Rabbi leur a dit que… L’Admour, le Rabbi Rayats veut que nous terminions l’écriture de ce Sefer Torah. Il n’en fallait pas plus que cela…
Chabbat 3 Chevat 5730-1970 : Le Rabbi prend la parole et annonce : « Où se trouve plus grand trésor (voir discours Bati Legani-ndt) que celui qu’attendent toutes les générations ; l’arrivée du Machia’h, notre dû, ce trésor, est désormais disponible. Et nous nous trouvons en plein milieu de cette journée. Le soleil brille et il y a de la lumière. Pourtant ils ne voient rien. Pourquoi ? Comme on le dit ici, les gens sont « busy », ils sont occupés à autre chose. Ces jours-ci, va avoir lieu la conclusion de l’écriture du Sefer et l’on pourra participer aux dernières lignes de ce Sefer Torah. Et même si l’on ne pourra dire quelle lettre sera son lot, parce que maintenant, il ne reste que quelques lignes, néanmoins, chacun pourra s’inscrire, et que les anges distribuent ces lettres à chacun… ».
Les ‘hassidim voyaient déjà ce qui allait se passer. Pas moins que la Délivrance ultime. Tous les signes, tous les événements, toutes les émotions se connectaient comme un puzzle, le Machia’h est en train de se présenter… Des centaines de ‘hassidim et d’émissaires du monde entier on commencé à déferler au 770.
Jeudi 8 Chevat : Le secrétariat annonce que la conclusion du Sefer Torah aura lieu demain, vendredi à la veille du 10 Chevat à 13h30 (après ‘Hatsot Hayom) en présence du Rabbi. La tension et l’émotion atteignaient de nouveaux sommets. Les ‘hassidim ont commencé à danser de toutes leurs forces, toute la nuit. Ils étaient certains que c’était la dernière nuit de l’exil. Le 770 était plein comme pendant les fêtes de Tichri. Personne n’osait parler. Chacun savait que demain, dans l’après-midi, la chose aurait lieu…
Vendredi 9 Chevat : Tous laissèrent en plan les préparatifs du Chabbat et se dirigèrent vers le 770 déjà bondé. Soudain, le Rav Eliahou Yakhil Simpson, fait son entrée portant dans ses bras le Sefer Torah. A sa suite le Rabbi qui porte un carton fermé. Personne ne sait ce qu’il contient. Et voici comment « Bitaon ‘Habad » le journal de l’époque décrit cet événement : « Le Rabbi Chlita commence à parler à la veille du Chabbat Kodech, Et la voix du Rabbi est chargée d’émotion contenue, comme une marmite bouillante et fermée de son seul couvercle, et il invite tous les enfants d’Israël à assister à cette conclusion. Après la lecture d’un chapitre de Tehilim, le Rabbi demande à ce que l’on chante les mélodies des sept Princes ‘Habad selon leur générations. L’œil de l’homme ne voit pas, et l’oreille humaine ne peut capter ce qu’il se passe dans le monde des âmes. Pourtant quelque part, dans les profondeurs ressent l’intuition ‘hassidique et les pères de la ‘Hassidout selon leur génération rentrent en contact avec nous ici-bas. De nouveau, se hausse le Rabbi et se relève de toute sa hauteur, entouré de tous les anciens ‘hassidim qui montre une symbiose ornée de barbes blanches. « Aux yeux de tout Israël », se déplient les pans du Sefer Torah grand ouvert. Le bruissement du parchemin est le seul son que l’on entend et puis, celui de la plume qui écrit, lettre après lettre, petit à petit, par le Sofer âgé. Le Rabbi ne lâche pas, même pour cligner des yeux, les lettres saintes. Autour, jeunes et vieux, petits et grands retiennent leur souffle dans la tension de crainte et de respect ».
Pendant ces minutes de conclusion tous étaient certains que Machia’h se dévoilerait d’un instant à l’autre. Personne ne doutait de l’identité du Machia’h. La tension nerveuse était à son comble on pouvait couper au couteau le suspens du « Quand cela va t-il arriver ? ». Après la fin de l’écriture des dernières lignes et lorsqu’on enroula le parchemin du Sefer Torah, le Rabbi a enfin ouvert le carton fermé qu’il avait apporté avec lui. Personne, ici, ne savait ce qu’il contenait. « Lorsque le Rabbi ouvrit le carton et en sortit une couronne tous étaient sûrs, moi et d’autres qui ont assistés et vu tout cela, que le Rabbi allait, lui-même porter cette couronne sur la tête et se dévoiler en tant que Roi Machia’h » a raconté l’un des jeunes étudiants qui a décrit l’émotion et le sentiment des présents ».
Mardi 20 Chevat 5730-1970
Lors de la Hitvaadout du départ, les présents pensaient déjà à rentrer chez eux et l’heure avançait, le Rabbi a raconté une histoire : « Un jour je suis rentré chez le Baal HaHilloula (le Rabbi précédent dont le 10 Chevat était le jour de sa Hilloula-ndt), mon beau-père l’Admour, alors qu’il résidait à Leningrad et ce soir-là, il devait se rendre à Moscou. Il s’agissait de la période des poursuites et des décrets etc. Donc, à ce moment-là, mon beau-père l’Admour devait se rendre d’un endroit à l’autre et les agents (du KGB) étaient nombreux sur ses traces. Car ils savaient que dès qu’il se rendait quelque part, de son bureau, il travaillait à la diffusion des sources de la ‘Hassidout et du Judaïsme. Et son départ était, à plus forte raison, une étape de plus reliée à la diffusion du Judaïsme…
Lorsque je suis entré chez lui, il n’y avait, alors, personne dans son bureau juste, mon beau-père, l’Admour qui était une demi-heure, ou même, un quart d’heure avant de quitter son appartement du 22, rue Ma’havié. Il devait se rendre à la gare où il y avait le train à destination de Moscou.
J’ai vu, alors, que mon beau-père, l’Admour, était confortablement installé, totalement détendu et serein, comme lors d’un jour normal. Il était impossible de distinguer sur lui, aucun souci. Il vaquait à ses occupations habituelles. Or, cela demandait, tout de même, une certaine concentration et un intérêt particulier.
Il est un vrai que le cerveau domine le cœur… Mais, tout de même, à ce point ?! Et donc je ne pu me contenir et je lui ai demandé : « à ce point ?! ». C’est alors que mon beau-père, l’Admour me raconta qu’il avait entendu (apparemment de son père le Rabbi Rachab) au nom du Rabbi Maharach, son grand-père, qu’il existe un concept qui s’appelle « la réussite dans le temps ». C’est à dire qu’on ne peut rajouter techniquement des heures dans la longueur d’une journée ou dans la longueur d’une nuit. Pourtant dans un labs de temps bien précis, il peut y avoir une réussite sans aucune commune mesure, et exploiter au maximum de son potentiel ces quelques minutes. Et ceci, lorsque l’homme le décide, lui-même. Que quand il se donne à une certaine occupation, tous les autres sujets, ce qu’il a fait avant ou ce qu’il fera après (si cela ne touche pas ce qu’il fait maintenant), les autres sujets sont comme s’il n’existaient pas du tout. Et même s’il s’agit d’un tout petit moment, comme pendant ce temps, il n’est pas préoccupé par quoi que ce soit, ni par le passé et ni par le futur, il peut, alors, exploiter ce moment pleinement. Et c’est ce qui s’appelle la réussite dans le temps.
A l’image du Rachba
Il donna un exemple (au nom du Rabbi Maharach aussi, il me semble) ; le comportement du Rachba. Il donnait trois cours par jour sur l’étude de la Torah. Ensuite, il répondait à de nombreuses questions. Et en plus de cela, il était médecin et devait soigner des patients. Et chaque jour, il faisait une promenade… Il est clair tout cela venait en plus des prières quotidiennes, de son étude personnelle, comme chacun en a le devoir. Pourtant ce n’est pas cela qui fit la grandeur du Rachba. Rendez-vous compte : pour donner un cours devant des élèves en général et à plus forte raison devant des élèves qui sont d’un tel niveau qu’ils peuvent être les élèves du Rachba. Et pas uniquement un cours, mais bien trois cours par jour qui demandent une attention et un don de soi particulier. De même en ce qui concerne les soins des patients et tous les occupations du Rachba y compris ses promenades, que, pour en profiter pleinement, on doit être complètement dégagé de tout souci et tracas. Et si tel était le cas, comment le Rachba pouvait-il assumer un tel emploi du temps ? La raison en est que le Rachba, alors qu’il donnait son cours, le reste de son emploi du temps n’existait pas pour lui. Même dans sa promenade, rien d’autre, pour lui, n’existait à ce moment-là, même pas les cours…
C’est comme cela que se comportait mon beau-père, l’Admour. Il était dans son bureau et il s’occupait de choses importantes qui demandaient toute son attention. Alors que dans quelques minutes, il devrait voyager et risquer sa vie, mais ce futur-là, n’existait aucunement pour lui, à ce moment-là.
Or, ce n’est pas un concept très facile à mettre en pratique. Et la réalité veut que des Juifs qui savent que dans une heure et demi, il vont voyager et prendre l’avion, il devront faire leurs bagages, prendre congé de leurs amis et de plus, prier Maariv. Il est très difficile de leur demander toute leur attention comme si l’avion d’El-Al n’avait pas encore été créé. Mais si on veut, on peut y méditer et se concentrer pleinement et être tout à fait serein. Comme c’est expliqué dans le Chaar Hayi’houd Vehaémouna ; le Saint béni soit-il va recréer l’avion du néant dès qu’ils auront besoin de rentrer chez eux en Terre Sainte. C’est le point de cette méditation que je voulais évoquer.
Pourtant comme tous le croient sans douter, il est difficile de réaliser que l’avion n’existe pas, l’aéroport Kennedy non plus et le billet d’avion n’existe pas non plus. La seule réalité existante est que l’on se trouve ensemble dans les quatre coudées du Rabbi ! »
Vivre chaque minute
Cette allocution avec l’histoire extraordinaire qu’elle contient, est un point du thème « Vivre chaque minute ». L’emploi du temps n’est qu’un plus qui vient grâce à cela. Du pouvoir que l’on a de se concentrer à cent pourcent sur l’endroit et le temps présent. Ne pas se laisser envahir par des pensées qui vont nous conduire dans d’autres directions. Cette qualité ne laisse pas place aux tracas ou à la dispersion de soi ou la pensée vers d’autres sujets. Car ces autres sujets n’existent pas encore. Ils seront créés, du néant à l’existant, quand viendra leur moment d’être créés… Lorsque j’ai appris cela, j’ai compris d’un seul coup ce que c’est qu’un « Pnimi » cela veut dire se concentrer sur l’instant présent et sur l’endroit où je me trouve et c’est cela l’essence de la Délivrance, de la Guéoula.
Lorsqu’on apprend la ‘Hassidout, on comprend que la Délivrance ne veut pas seulement dire que pousseront des habits et des petits pains sur les arbres, qu’il n’y aura plus de maladie, que l’on sera éternellement jeune, c’est sûr. Mais le Machia’h nous apportera surtout un grand dévoilement divin. Celui que D.ieu recrée l’univers à chaque instant de nouveau. Or cette compréhension vient du fait que la création est une réalité continue du néant à l’existant. Et tout vient de l’essence divine car Lui seul peut créer du néant à l’existant… Et c’est cela le dévoilement divin !
Et si cette conscience imprègne notre vie jusqu’à ce que notre métabolisme soit impliqué complètement, investi dans le fait que D.ieu crée maintenant le monde juste pour nous et que le reste n’existe pas, car il n’est pas encore créé. C’est véritablement entrer dans un monde délivré…
J’ai partagé toutes ces idées avec les étudiants. Et ce qui les a saisi le plus, est que le Rabbi assure que celui qui adopte la puissance du « Pnimi », de son être profond, se dégage immédiatement de tout souci. Car la majorité des tracas, vient du futur. Celui qui investit sur le présent n’a aucun souci.
Quand l’homme vit avec cette conscience, que D.ieu crée tout du néant à l’existant. Tout est bon car tout vient de Lui. Il ouvre les yeux et devient totalement positif. Il peut voir que le monde et tous les événements suivent le processus de la Délivrance. Il n’est aucun besoin de le convaincre de la réalité du Machia’h et de la Délivrance. Car ce qui se passe c’est que tout s’arrange et tout vient à point… (Extrait de Kovetz Sippourim du Rav Reuven Ashkénazi, traduit par l’équipe du Point sur la Guéoula)