L’équipe du Point sur la Guéoula vous présente son nouveau livre
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Tout d’abord nous devons comprendre ce qu’est la rétraction de la lumière divine afin de créer le monde. C’est une phase incontournable pour faire, a partir d’un minuscule faisceau de lumière, différentes phases pour créer le monde.
Un peu comme un artiste peintre qui va de son idée, passer au croquis, puis aux ombres et lumières, et enfin mettre de la couleur dans son tableau qui sera volumineux et magnifique…
Dans le discours de Bati LeGani (Je suis venu dans mon jardin), le Rabbi, lui-même nous explique pourquoi D.ieu a créé le monde. Pour habiter avec nous dans ce monde. Il nous dit que en tant que Roi Machia’h et donc ambassadeur de D.ieu sur terre, il est ici et va nous commenter sa propre arrivée… Il commence son rôle en annonçant : « Je suis venu… ». Puis il va nous expliquer en tant que maître comment nous allons devenir comme lui ou plutôt comme Lui.
Une histoire. Il était une fois, un très grand sage qui n’avait qu’un seul élève. Cet élève était, en fait, le fils d’un monarque et ce roi voulait en faire son successeur car c’était le prince, l’héritier du trône. Ce professeur exceptionnel devait lui enseigner toutes les sciences, toutes les sagesses et tous les arts du monde…
Un jour, il s’était mis en tête de lui enseigner la physique quantique. Il a alors dû prendre congé de son élève pour trouver un langage adapté. Car c’est une science qui en regroupe plusieurs et fera découvrir à son élève, le monde dans l’infiniment petit et en même temps dans l’infiniment grand…
Le prince n’avait pas compris pourquoi le maître s’absentait autant de temps. Le prince était inconsolable d’un côté, mais en même temps il était bouillonnant car il savait profondément que le maître préparait quelque chose d’énorme, de grandiose. Et en effet, quelques semaines plus tard. Le maître revint mais cette fois-ci, la lumière débordait de ses yeux car il avait désormais organisé son savoir. La joie du prince fut incommensurable…
L’élève en fait, ce prince, c’est nous. La science extraordinaire, c’est la Nouvelle Torah du qui sortira de Moi, le professeur, c’est D.ieu. Et les ténèbres qui recouvrent la terre, c’est la rétraction de lumière, comme une salle de cinéma, plongée dans le noir et le faisceau de lumière est celui qui va nous montrer le film de la vie, en vrai… Ici et maintenant.
(Gabriel ‘Haïm et Menou’ha Ra’hel Beckouche)
Il s’agit de Rav Arié Amit, ‘hassid ‘Habad officier dans Tsahal et originaire de Bat Yam qui nous a décrit comment il a imprimé le Tanya dans la bande de Gaza ces derniers mois et ces derniers jours à la base de Paga à Gaza, mais écoutons-le plutôt…
On entre à Gaza
« Le Baal Chem Tov a démontré la puissance de la Divine providence, comment D.ieu intervient au jour le jour dans nos vies. Mais dans notre génération apparemment, Il a décidé de transmettre ce pouvoir fantastique au Rabbi et ce soir, je vais vous le démontrer dans le récit suivant… Grâce à D.ieu j’ai mérité d’être gradé dans l’armée et de diriger des soldats. Notre travail a été dès le début de la guerre de Gaza, de faire exploser des bâtiments. Nous installions des charges explosives et on détruisait les bâtiments les uns après les autres. Lorsque la décision a été prise d’entrer à Gaza, la première unité qui est rentrée est l’unité « Guiveati ». Notre rôle consistait à fournir tous leurs besoins à cette unité combattante.
On entre à Rafia’h
Dès que nous sommes entrés à Rafia’h, un ami m’a dit, on voudrait imprimer le livre du Tanya à Rafia’h. Je lui ai répondu « écoute on a des camions énormes qui font entrer des hommes et du matériel à Rafia’h, on peut s’en servir pour y introduire une imprimante et imprimer le Tanya ». Aussitôt dit, aussitôt fait et nous avons, dans la journée, acheté un générateur électrique et une imprimante la plus moderne qui soit et la plus performante pour imprimer en double face et on a commencé à imprimer le Tanya… Il faut savoir que dès que nous avons terminer d’imprimer le livre du Tanya, quatre otages ont été libérés…
Le Kit High-Tech
Pendant les combats, je me disais que le Rabbi demande de ne pas faire entrer de soldats mais plutôt d’utiliser les nouvelles technologies. Des véhicules téléguidés, des robots etc. Et sans cesse je partageais cette idée et je posais la question aux soldats qui m’entouraient : « Vous auriez une idée pour éviter de faire entrer en zone dangereuse, non pas des hommes, mais plutôt utiliser le high-tech pour combattre l’ennemi ? »… L’un des soldats m’a dit : « écoute, notre unité est spécialisée dans le high-tech et nous développons un Kit que l’on peut placer sur n’importe quel véhicule et le transformer en véhicule téléguidé. Par exemple on peut, lors d’une opération à Gaza ou au liban, connecter ce Kit à un «Hammer» et le lancer à toute vitesse, sans utiliser d’hommes… ».
Réponses Prophétiques
J’ai immédiatement écris au Rabbi à ce sujet pour lui demander conseil et bénédiction, la réponse portait sur le fait d’envoyer un chercheur de sponsors aux États-Unis, de continuer à imprimer le Tanya et développer ce Kit et cette technologie… Et le Rabbi a poursuivit en disant « être chercheur de sponsor aux États-Unis est très difficile, mais si vous suivez la Divine Providence, alors vous verrez que tout ira bien… ».
La Divine Providence
J’ai dit à ce soldat, que l’on allait partir aux USA et que nous avons la bénédiction du Rabbi Chlita Roi Machia’h et de placer notre confiance en D.ieu… Avant de partir j’ai demandé conseil au Rav ‘Haïm Tsik et il m’a dit : « Allez directement chez le Rabbi au 770 et passez-y le Chabbat. Lorsqu’il y aura le Farbrenguen (la réunion ‘hassidique), vous recevrez une bouteille de Vodka du Rabbi Chlita et vous annoncez votre projet devant tout le monde »…
Le jeune homme qui m’accompagnait n’était pas spécialement religieux, mais il a foi dans la puissance du Rabbi. Je lui ai dit : « C’est toi qui va monter sur l’estrade au Farbrenguen et qui va annoncer le projet et tu vas recevoir la bouteille de Machké, ok ? » il était d’accord.
Suspens
Mais juste au moment de passer à l’action, il a vu le monde autour et il a prit peur. En effet, il faut comprendre, ce n’est pas quelqu’un qui a grandit dans une famille ‘Habad… Mais au dernier moment, il a reprit courage, et il est monté sur l’estrade. Il a prit la bouteille de Vodka et a annoncé le projet, devant tout le monde, qui est «de sauver la vie à de nombreux soldats…».
Puis nous sommes rentrés chez notre hôte, qui est un ‘hassid, mais pas spécialement méchi’histe. Il a dit à mon ami : « Viens avec moi, demain au Ohel demander une bénédiction… ». Il m’a demandé mon avis et je lui dit « Tu es libre, tu fais ce que tu veux ».
Le Rabbi Chlita m’a vu…
Le lendemain, Dimanche matin, nous sommes tout d’abord allés prier au 770, puis le soldat s’est installé à la table et a écrit une lettre au Rabbi et la réponse fut la suivante : « J’ai éprouvé beaucoup de plaisir de vous voir à côté de moi, ce Chabbat ». Imaginez un peu. Quand notre hôte, le ‘hassid lui a dit : « Tu viens avec moi au Ohel ? », mon ami lui a répondu : « Pas du tout, le Rabbi m’a vu, à côté de lui, ce Chabbat ! ».
Une Histoire de Divine Providence…
On avait une liste de cent personnes et sponsors que nous devions rencontrer. On s’est rendu à New-York, Los Angelès et Miami et on a rencontré tous ces gens. Ils nous ont posé des questions sur le projet du Kit. Juste avant de rentrer en Eretz, nous avions un dernier rendez-vous.
Un riche homme d’affaires et on ne croyait pas qu’on arriverait à le rencontrer, mais finalement (Hachga’ha Pratite) on a réussi à le voir avant de prendre l’avion. Cet homme a posé les cents questions que nous ont posé tous les gens.
On était prêts, on a donc su répondre parfaitement aux questions. Cet homme nous a dit : voilà je vous présente mon petit-fils, il travaille avec moi. Tout ce dont avez besoin, le Kit et tout le matériel, tablettes, ordinateurs, drônes etc. Vous lui envoyez un email et il viendra vous livrer en Israël et moi je vous soutiens…
Mission accomplie, on a déjà sauvé la vie de nombreux soldats et on a vu comment le Rabbi Chlita domine clairement toutes les situations et les Divines Providences.
La base de l’armée à Paga
On est rentrés au pays et mon commandant m’a dit : « écoute, il y a une base à Gaza du nom de Paga, elle a subit de gros dégâts et de nombreuses pertes le 7 Octobre. Je voudrais que tu reprennes cette base pour qu’elle devienne une plaque tournante stratégique, tu es d’accords ? – Je vais d’abord demander au Rabbi Chlita Roi Machia’h… Et le Rabbi a répondu : « J’étais très heureux d’apprendre que vous avez imprimé le Tanya et je vous demanderai de poursuivre cette mission sacrée et d’imprimer le Tanya dans d’autre endroits… ».
Donc j’ai dit au commandant : « J’ai juste une requête, imprimer le Tanya à Paga – Du fait que tu passes officier responsable de Paga, tu as carte blanche»… Il y a un Juif qui s’appelle Aharon Fryman qui a fait des Podcast et a suivi le projet de l’impression du Tanya. Et il m’a dit que dès que j’imprimerais à Paga, il serait intéressé par un nouveau Podcast.
Impressionsdu Tanya en Série
Donc je l’ai appelé un jeudi et je lui ai dit que dimanche, j’imprimerais à Paga. Il m’a répondu : « Incroyable je viens de t’envoyer une photo regarde… ». Il s’agit d’un soldat de Rafia’h qui a été péleriner sur la tombe de son frère et on le voit étudier le Tanya sur le livre qu’on a imprimé. Je lui ai dit : « Excellent, dis à la famille que je les invite tous pour l’impression du Tanya à Paga ». Il me répondit : « La famille a préparé un rideau de Sefer Torah au nom de leur fils qui s’appelle Dekel Ouaknine et des victimes tombées au combat à Paga (il faut savoir que Dekel a combattu avec une trentaine de soldats contre 300 terroristes. Il a vu un terroriste voler un Sefer Torah appartenant à Paga et Dekel s’est retourné, l’a visé et l’a tué juste avant de tomber au combat). Ils ont aussi fait écrire un Sefer Torah pour la base de Paga ».
Et en effet, il y a eu une grande cérémonie dimanche et on a imprimé le Tanya à Paga. Ce n’est pas tout. Pendant la cérémonie étaient présente la famille du soldat Aner Chapira qui a protégé les civils dans l’abri anti-missile et nous avons décidé d’imprimer le Tanya dans cet abri…
Les amis, notre rôle aujourd’hui est de remarquer le parcours fléché du Rabbi Chlita Roi Machia’h avec le concours de la Divine Providence. Car c’est uniquement pour nous conduire à la Délivrance et d’apprécier notre chance et notre bonheur de vivre ces instants historiques… ». (Traduit du discours de Rav Arié Amit par l’équipe de LPSG)
Notes: 1/ 20.1- 2/ 5.6 – 3/ Vaet’hanane 5.5- 4/ Ps.90.1 – 5/ Yitro 20.1 – 6/ Sanhédrin 98b – 7/ Bo 10.9 – *Mena’hem Mendel Schneerson
Selon tout ce que nous avons vu, nous pourrons comprendre l’enseignement de « Yehouda l’a rencontré », actuellement, pour notre génération, alors que nous sommes à la veille immédiate de la Délivrance véritable et complète.
Même si Yehouda était plein de détermination et de puissance à son époque et même si Morde’haï l’était aussi à son époque, ainsi que les Justes et les Juifs de toutes les générations, à toutes ces époques, ils ont subi toutes sortes de barrages extérieurs de brimades, de décrets de la part des nations, D.ieu nous en préserve. On ne les a pas laissé se comporter avec la détermination et la puissance d’un maître du monde.
Par contre, actuellement et dans notre génération, on peut voir que les troubles du passé n’existent plus et que les nations permettent aux Juifs de se comporter selon leurs désirs.
De plus, non seulement les Juifs peuvent se comporter selon leur volonté, mais les gouvernements des nations du monde leur apportent de l’aide ! Et plus encore, les enfants d’Israël peuvent accomplir la Torah et les Mitsvot dans leur environnement privé. Et nous pouvons voir actuellement, qu’il est plus aisé de s’imposer et même que tous sont devenus aptes à recevoir le Judaïsme, la Torah et les Mitvsot. Et pour les nations, les Sept Mitsvot des enfants de Noé.
Didane Notsa’h, nous avons gagné !
Le fait que « Yehouda l’a rencontré », la détermination, la puissance et la domination des enfants d’Israël sur le monde, dans notre génération est encore plus explicite le jour du 5 Tevet. Car ce jour est relié avec la libération des prisonniers, les livres et les écrits de nos saints maîtres, nos Rebbeïm, nos princes qui ont été délivrés selon un accord et l’aide du tribunal des nations aux yeux de tous les peuples, dans un tribunal fédéral. Mais il y a toujours des livres et des manuscrits de mon beau-père, le Rabbi Rayats, et de son père, le Rabbi Rachab qui se trouvent en captivité dans cet Etat (la Russie – Ndt), et ils ne sont pas encore revenus à leur place, alors qu’il y a eu envers eux un ordre de la Royauté, ainsi que de celle des nations du monde afin qu’ils soient libérés. Qu’est-ce que chacun peut faire pour activer la libération et le retour des livres et des écrits ? La réponse est toute simple : Par le fait que chacun et chacune, hommes, femmes et enfants, ajoutera à la maison, dans sa bibliothèque de nouveaux livres sacrés emplis de paroles de Torah, en plus de ce qu’ils possèdent déjà. On peut même, aujourd’hui s’abonner afin de recevoir régulièrement les nouveaux livres qui viennent de sortir. De plus, il serait bon d’exploiter la coutume Juive qui consiste à offrir en cadeau des livres sacrés, même pour de jeunes enfants pour une occasion leur appartenant ou avant une fête etc.
Lors de la Délivrance
Et que soit Sa Volonté, que grâce à tout cela, que chacun s’occupe d’acquérir de nouveaux livres, tout cela va activer le but de « Vayigach Elav Yehouda, Yehouda l’a rencontré », lors du rachat du captif, de Benyamin, que tous les livres et les écrits de nos saints maîtres, nos Rebbeïm, nos princes, reviennent à leur place réelle, « la maison de Rabbénou qui est à Babel », c’est-à-dire au « 770 » dont la valeur numérique est « Paratsta, tu te répandras » et là seront rassemblés tous les écrits de tous nos saints maîtres, nos Rebbeïm, nos princes.
Et immédiatement Mamach, véritablement, Il nous ramènera nos captifs ainsi que le rachat des captifs de toutes les étincelles de sainteté du monde. Et tout de suite, Miyad Mamach, Mamach, tous les Juifs vont «avec nos jeunes, nos vieux etc. nos fils et nos filles», et « leur argent et leur or avec eux », ainsi que tous leurs livres et leurs écrits, en notre Terre Sainte, à Jérusalem, la ville sainte, sur le mont saint, dans le Beit HaMikdach, le saint Temple, le troisième Temple, dans le Saint des saints dans lequel se trouve la pierre de soutènement du monde sans aucun changement depuis la création du monde. Et tout ceci de manière immédiate, et Miyad Mamach.
Sauf que le Rabbi actuel (le Roi Machia’h) voyait évidemment tout cela. Il s’est élevé personnellement contre ce détournement ignoble… Il a affirmé que ces livres sont le patrimoine des ‘hassidim ‘Habad. Mais aussi et surtout que ce trésor de culture Juive appartient à l’ensemble des Enfants d’Israël dans son ensemble.
Lorsqu’au final, il y a eu un procès au Tribunal fédéral et que la victoire a finalement été obtenue par le Rabbi Chlita Roi Machia’h, grâce à son épouse la Rabbanite ‘Haya Mouchka, la fille du Rabbi Précédent, qui a déclaré devant les juges : « Le Rabbi et les livres sont la propriété des ‘hassidim », La victoire a été obtenue le 5 Tévet 5747 (Hiver 1987). Cette victoire a été surnommée « Didane Notsa’h », « On a gagné » en araméen (expression du Talmud). Ce jour est devenu une fête dont l’ampleur dépassa même, la plus grande des célébrations ‘hassidiques, le Youd Teth Kislev.
Dans son discours du 5 Tevet 5752-1992, le Rabbi actuel, dit qu’il s’agit de la libération d’otages. Il est de notre devoir d’acheter des livres et d’enrichir notre bibliothèque pour activer la libération des livres-otages, des Juifs-otages. Que la Guéoula se dévoile immédiatement et libère l’humanité entière encore prisonnière de l’exil. Et ceci aura lieu avec les danses et les chants dans la plus grande joie de la Guéoula…
(Gabriel ‘Haïm Beckouche et Yaacov Ye’hezkiel Corda)
Inscrivez vous à la grande Loterie du 19 Kislev 5785… (19/12/24)
Le Rassemblement des Emissaires qui sont ouvertement pour le Rabbi en tant que Roi Machia’h…
Madame Tsoubari était déjà en salle d’accouchement quand soudain, la fièvre monta et rapidement atteignit les 40°C. Elles commença à se sentir mal. Les médecins qui étaient autour d’elle furent vite stressés par son cas. C’était signe que la future-mère et le fœtus étaient, tous les deux, en danger. Ils ont, alors, décidé de donner à celle-ci un traitement pour interrompre le processus de l’accouchement…
Son mari, Israel était, lui aussi, influencé par les médecins, déjà très sceptiques. Il avait immédiatement compris qu’il devait multiplier les prières et les psaumes. De plus,
il a contacté son ami, animateur à la radio, le célèbre Ami Maïmon. Il lui a demandé de transmettre au public de prier en urgence pour Linoy Bat Brouria, qui se trouve en danger en ce moment-même…
Et c’est ce que fit Ami, mais pas seulement. Il écrivit aussi au Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h dans les Iguerot Kodech. La réponse qu’il reçut fut la suivante :
« …Elle m’écrit qu’ils veulent d’autres enfants… Il serait bon de faire vérifier les Téfilines de son mari, qu’il ait une longue vie et avant de les mettre qu’il donne quelques pièces à la Tseddaka. Et de son côté, qu’elle donne de la Tseddaka avant l’allumage des bougies du Chabbat et des fêtes ». Dans la page d’en-face ; il était question de faire vérifier ses Téfilines…
Ami Maïmon transmit la réponse du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h à Israël.
Ce dernier envoya immédiatement ses Téfilines à vérifier chez un Sofer expert et en même temps, avant même qu’arrivent les résultats de la vérification, il annonça au Sofer qu’il voulait commander une nouvelle paire de Téfilines. Dès que les Téfilines furent donnés à vérifier, la situation de la future-maman commença à s’améliorer. La fièvre descendit. Elle se sentit beaucoup mieux.
Le dimanche qui suivit, ils retournèrent à l’hôpital pour un examen pendant lequel, Linoy ressentit les contractions… On la conduisit en salle d’accouchement. En cinquante minutes seulement, une petite fille naquit, toute mignonne et en parfaite santé, grâce à D.ieu.
Peu de temps après l’accouchement, le Sofer appela Israël : « Certaines lettres dans les parchemins des Téfilines sont invalides et donc les Tefilines ne sont plus cachères »…
Israël fut émerveillé par une telle précision dans la réponse des Iguerot Kodech. Et pour remercier Hachem pour la naissance de leur fille ils la nommèrent « Libi (Mon coeur) » en allusion aux Téfilines que l’on place face à son cœur… (Traduit par l’équipe de LPSG).
Il est connu que dans chaque génération il existe un homme de la tribu de Yéhouda qui, de par sa grande piété, est apte à être le Machia’h le moment venu. Et, sachant que, d’après l’annonce de mon beau-père, le Rabbi, Nassi de notre génération, le Chalia’h unique de notre génération et le Machia’h unique de notre génération, selon laquelle nous avons terminé notre tâche, il est clair que commence à s’accomplir « Chla’h Na Beyad Tichla’h, Envoie s’il Te plaît (le Machia’h) », la mission de mon beau-père, le Rabbi. Il est donc compréhensible que la seule chose qui nous reste à faire dans la Chli’hout est d’accueillir concrètement le Machia’h pour qu’il puisse accomplir sa mission et sortir le peuple juif de l’exil…
Le Congrès des émissaires
L’instruction concrète qui découle de cela en ce début de « Congrès Mondial des Émissaires » est la suivante : Il faut annoncer à tous les Chlou’him que dorénavant le travail de Chli’hout, de même que pour chaque Juif, s’exprime dans le fait d’accueillir le Machia’h. Cela signifie que tous les aspects de la diffusion de la Torah et du Judaïsme et des sources de la ‘Hassidout doivent être pénétrés de ce point : comment cela entraîne à accueillir le Machia’h. C’est également le sens de la phrase de la Michna choisie comme thème du Congrès, « Tous les jours de ta vie, pour amener les jours du Machia’h ». Pas seulement pour inclure l’ère messianique (selon certaines traductions), ce qui signifie que le Chalia’h attend que Machia’h vienne pour s’y investir et en profiter, mais bien pour « amener ». Le Chalia’h doit faire tout ce qui est en son pouvoir pour amener « les jours du Machia’h » au pluriel, c’est-à-dire non seulement le début, le premier jour, mais tous les jours du Machia’h (pas seulement lorsque celui-ci est « Be’hezkat Machia’h, présumé être le Machia’h », mais jusqu’à la plénitude du statut de « Machia’h Vadaï, confirmé comme étant le Machia’h »). Ainsi, de ce Congrès doivent sortir des résolutions sur comment chaque Chalia’h doit se préparer lui-même ainsi que tous les Juifs autour de lui, dans sa ville etc., à accueillir le Machia’h, par le fait qu’il explique d’une façon qui soit assimilée par chacun d’après sa compréhension, notamment à travers l’étude des sujets de la Torah relatifs au Machia’h et à la Délivrance, en particulier selon l’approfondissement de la ‘Hassidout ‘Habad. Et puisque telle est la tâche de notre temps, il est clair que cela est du ressort de chaque Juif, sans aucune exception.
D.ieu remerciera chaque Juif
Et par le fait que chaque Chalia’h va remplir son rôle à la perfection, par les dix forces de son âme, et que tous les Chlou’him vont se rassembler et s’unir autour de cela, ils amèneront immédiatement le dévoilement du Chalia’h essentiel et véritable, avec le dévoilement des dix forces de son âme – « Chla’h Na Beyad Tichla’h », le Chalia’h de notre génération – mon beau-père, le Rabbi, Nassi de Notre génération – comme ce fut le cas dans la génération précédente, dans laquelle mon beau-père s’est unifié avec son père, duquel il était le fils unique, de sorte qu’il y ait la plénitude des « sept branches de la Ménorah », les sept générations ensemble. Et, d’autre part, comme nous avons terminé notre tâche, chaque Chalia’h se présente devant le véritable délégateur, le Saint bénit soit-Il, et lui annonce : j’ai accompli ma mission et maintenant le moment est venu que Toi Tu accomplisses la tienne (car D.ieu est aussi un Chalia’h, d’après le principe selon lequel Il ordonne aux Enfants
d’Israël ce qu’Il fait Lui-même : ainsi, avec les dix Sefirot, l’Essence Divine est Elle-même le Machia’h) : « Chla’h Na Beyad Tichla’h », envoie-nous le Machia’h concrètement… Et même s’il se peut que D.ieu retire du plaisir d’un instant de service divin supplémentaire en exil, chaque Juif crie à Son égard « Tout ce que te dit le maître de maison, fais-le, sauf de sortir », il est exclu que nous restions en dehors…
Ceci sera encore plus accéléré en particulier à travers la décision d’étudier l’intégralité du « Torah Or » et du « Likoutei Torah ». Et D.ieu remerciera chaque Juif en particulier et le Peuple Juif dans son ensemble pour ses efforts (même si ceux-ci n’ont pas atteint la perfection), et il les mènera tous en Terre Sainte, à Jérusalem, la ville sainte, sur la montagne sainte, dans le troisième Temple. Et le plus important est que ce soit immédiatement.
Sur le verset de la Paracha ‘Hayé Sarah : « Avraham était avancé en âge et l’Eternel avait béni Avraham en tout ». Dans le Midrach Rabba il est dit : « Rav Levi a dit : Cette bénédiction réside dans le fait que Avraham dominait son penchant… ».
Le Rachab pose la question : « quelle est cette bénédiction tellement grande qu’il dominait son penchant ? ». Pour répondre à cette question, nous devons comprendre tout d’abord que veut dire : « Avraham était avancé en jour… ». Il écrit dans Pirké Avot que : « Avraham a affronté dix épreuves et il les a toutes surmontées ».
Qu’est-ce qu’une épreuve ?
En fait il s’agit d’une grande lumière, d’une élévation sans aucune commune mesure où va intervenir un immense miracle, mais pour l’instant (comme il vient du monde de Tohou) il est caché, complètement dissimulé. (Par exemple dans le cas de Avraham, il lui apparut un fleuve pour l’empêcher d’avancer). Par la suite, le fleuve a complètement disparu dès qu’Avraham a montré sa détermination d’aller jusqu’au bout de l’épreuve. Et de ce fait il a dévoilé, que finalement, il n’y a pas de vérité dans l’épreuve dès qu’on se rends compte que « Ein Od Milvado, hormis D.ieu, il n’y a rien d’autre ».
L’avantage de dominer son penchant
Lorsqu’on a connu une épreuve, on voit un miracle, une merveille extraordinaire. On atteint alors la sérénité, la Menou’ha. Mais quand on atteint le niveau où l’on domine son penchant, alors se dévoile la sérénité sans même passer par l’épreuve.
La Guéoula, la Délivrance
Comme on dépasse le niveau du penchant (l’âme animale) et que l’on sert D.ieu par ses deux penchants (Bekhol Levavé’ha, de tout son coeur) alors on connaît la Délivrance personnelle et lorsqu’on atteint la Guéoula Personnelle on a le pouvoir absolu pour atteindre et dévoiler la Délivrance finale… Maintenant.
NB : j’en profite pour vous dire que je suis sorti, aujourd’hui, de l’hôpital suite à un malaise cardiaque et je voudrais rendre un hommage à cette grande dame qu’est mon épouse et qui m’a soutenu dans cette épreuve et ça tombe bien car elle s’appelle Menou’ha Ra’hel !
(Gabriel Beckouche)
Le dévoilement de «Vayéra» est plus tangible encore en ce qui concerne l’enfant. Car un enfant lorsqu’il pense à D.ieu ne fait allusion qu’à Son Essence, comme le rapporte le Tsema’h Tseddek : « Je prie en me considérant comme un enfant »… Le fait de lire dans la Torah « Il se dévoila à lui » (lui, c’est chaque Juif) doit éveiller en nous le désir profond de recevoir se dévoilement, jusqu’à en pleurer… Il deviendra alors un réceptacle pour ce dévoilement et fera tout ce qui est en son pouvoir pour l’obtenir.
Le lien avec la Guéoula
On se doit de trouver le rapport avec la Délivrance véritable et complète par l’intermédiaire du roi Machia’h, Tsidekénou. L’un des sujets et des buts principaux de la Délivrance est que « Ton Maître ne se cachera plus, et tes yeux verront ton Maître » qui est relié au sujet de « Vayéra Elav Hachem » (D.ieu se dévoila à lui), dans la perfection la plus complète, et plus encore que « Toute chair verra ».
Chaque Juif possède une étincelle de l’âme du Machia’h, ce que l’on appelle «Ye’hida» de l’âme. L’un des noms du Machia’h est « Ko’hav, étoile » et chaque Juif est appelé une « étoile ». Ceci se ressent plus encore alors que chaque Juif remplit la mission qui lui est déléguée par Hachem. Chalia’h (émissaire) avec un rajout de dix équivaut à Machia’h, alors se dévoileront les étincelles de Machia’h qui provoquent le dévoilement de la Délivrance.
D.ieu se dévoila à lui, est une préparation à la venue du Machia’h dans le sens où il se dévoilera aux yeux de l’esprit par l’intermédiaire de l’étude profonde de la Torah. L’homme n’apprendra plus de son prochain car « Tous Me connaîtront », « Tes yeux verront ton Maître », par la vision matérielle.Toutes les périodes sont étalées devant nous ; la couronne du mois de Mar-Hechvan, le 20 du mois, la couronne de Kislev, le 20 du mois (lendemain du 19 Kislev) dont la fin se passe pendant les jours de Hanouka…
Le Machia’h révélé
Comme nous l’avons remarqué plus haut, la réalité, l’existence du Machia’h est révélée dans « l’étincelle du Machia’h » qui se trouve en chaque Juif et chaque Juive, l’existence du Machia’h est révélée de manière concrète dans la réalité comme il est dit : « Dans chaque génération il naît une personne de la descendance de Yehuda qui est apte à être le Machia’h, le libérateur d’Israël. « Un Juste, qui de par sa perfection est désigné pour être le rédempteur, et quand viendra le moment, Hachem, qu’Il soit béni, se dévoilera à lui, et l’enverra accomplir sa mission… ». Et s’il n’y avait pas eu d’événements indésirables ni d’empêchements, il se serait dévoilé et serait venu de la manière la plus concrète véritablement.
Et selon l’annonce de mon beau-père le Rabbi, prince de notre génération, le Machia’h de notre génération, que tous les travaux sont terminés, et nous sommes prêts à recevoir la Délivrance ultime, toutes les barrières et les empêchements sont tombés, et sont apparents non seulement la réalité du Machia’h, mais le Machia’h s’est dévoilé, et maintenant nous ne devons que nous concentrer sur le fait de l’accueillir concrètement dans l’action, Mamach !
La Joie de La Guéoula, la Délivrance
Et le principal est que tout se passe immédiatement dans l’action concrète afin que chacun puisse montrer du doigt et dire : « Voici, c’est le Machia’h qui arrive » et voici mon beau-père, l’Admour, prince de notre génération, et voici « Notre D.ieu, c’est Havayé en Lequel étaient placés tous nos espoirs, nous nous réjouirons et seront heureux lorsqu’Il nous sauvera », la joie de la Délivrance véritable, complète et dévoilée dans l’action concrète pour laquelle nous bénissons : « Che’heyanou, Vekiyémanou, Vehiguiyanou, Lizmane Hazé ».
Comme j’ai eu l’occasion de l’indiquer à plusieurs reprises dans les colonnes du Point sur la Guéoula, je travaille en tant que Chalia’h francophone (émissaire du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h) à l’hôpital Chaaré Tseddek. Cela dit, je m’y suis rendu récemment pour des raisons différentes…
Chabbat 8 Mar Hechvan 5785
Peu après le départ de mes parents à la synagogue, je ressens quelque chose d’inhabituel : un malaise d’une profondeur extrême. Passé un certain temps, je me suis dit que tout vient d’En-Haut et que « Hakol Létova, tout est pour le bien » (Comme il est écrit dans le livre du Tanya). Mais le malaise ne disparaissait pas. Ceci généra une intense douleur qui m’accompagna jusqu’à la fin du Chabbat.
Les Urgences
A la sortie du Chabbat, je décidai, sans attendre, de composer le 101, le numéro d’urgence du Maguen David Adom – ai-je bien fait de prendre un tel risque d’attendre aussi longtemps? Toujours est-il que que lorsque les secouristes sont arrivés, ils considérèrent que les résultats des tests pratiqués à mon attention nécessitèrent (surtout la montée en flèche de ma tension artérielle) une hospitalisation urgente. Je tentai de les convaincre de me laisser passer la nuit à mon domicile puis de rejoindre les urgences le lendemain, au bon milieu de ma mission sacrée, justement dans cet hôpital. Mais, selon leurs dires, la situation était trop grave. À tel point que, une fois arrivés à l’hôpital Chaaré Tseddek, ils demandèrent au personnel local de me faire passer toute une batterie d’examens en priorité par rapport à d’autres patients.C’est alors, qu’entre deux de ces tests, j’appelai mon Machpia (guide spirituel), le Rav Gabriel Beckouche, pour lui faire part de la situation.
Une bénédiction rapide
Ce dernier revint à moi peu de temps après, avec, comme vous pouvez vous l’imaginer, une bénédiction tout droit issue des Iguerot Kodech, les Correspondances Saintes du Rabbi de Loubavitch avec un conseil, de m’occuper de mes affaires en cours et comme il n’y avait aucune allusion à ma situation de santé, mon conseiller, Rav Gabriel me dit que je ne devais pas du tout m’inquiéter. Cette bénédiction se concrétisa à une vitesse fulgurante, grâce à D.ieu. En effet, les examens que j’étais en train de subir au moment même où je reçus la bénédiction, à l’hôpital, se sont intégralement soldés par une amélioration sans proportion avec les tests de départ. À tel point que le médecin urgentiste de garde constata qu’il ne s’agissait plus que d’une simple bactérie, et ne me considéra plus, en conséquence, comme un cas urgent ni prioritaire. Il me fit ainsi entrer dans son bureau parmi les derniers admis aux urgences (je profitai du temps libre pour pratiquer ma mission sacrée et visiter les malades) et, en fin de compte, il me donna l’autorisation de rentrer chez moi.
Voilà comment cela se passe lors de l’époque messianique, les médecins ne seront là que pour vérifier que nous sommes, grâce à D.ieu, en bonne santé ». (Ra’hamim Israël)
Comment ça marche ?
1/ On se lave les mains
2/ On écrit tout d’abord une lettre avec notre question
3/ On prend une bonne décision et on l’écrit
4/ On introduit la lettre dans un volume des Correspondances Saintes du Rabbi de Loubavitch
5/ A la page où l’on ouvre… Là se trouve la réponse
Et voilà